Ādisōke à la pièce: le théâtre de style boîte noire 

Image animée du théâtre de style boîte noire, avec des personnes assises sur des chaises et une personne faisant une présentation à l'avant de la salle.

Shakespeare, Denis Arcand et des danseurs de cerceau autochtones pourraient s’inviter à Ādisōke

Ādisōke est bien plus qu’une bibliothèque.

Les danseurs de cerceau autochtones d’une troupe de la région d’Ottawa en savent quelque chose! Pour eux, le théâtre de style « boîte noire » d’Ādisōke est un lieu idéal pour se réunir et s’entraîner.

L’expression « boîte noire » fait référence à un grand espace vide à plafond haut qui permet différentes configurations. On peut transformer sa configuration de bien des façons : théâtre en rond, théâtre frontal ou théâtre classique. Somme toute, cette petite salle est modulable au gré des utilisateurs.

Tout comme son « grand frère », l’auditorium d’Ādisōke, elle est polyvalente et conviviale. De taille modeste et surtout offrant un décor intime et chaleureux, elle peut accueillir de plus petits groupes : des troupes de danse et de théâtre ou des chorales, venues parfaire leur art. Dotée en plus d’un écran, cette pièce peut asseoir jusqu’à 80 personnes, assez pour permettre à des membres de la communauté de la réserver pour des conférences, des assemblées ou des événements médiatiques.

On s’y donne rendez-vous pour une entrevue intimiste portant sur des documents d’archives avec Denis Arcand? Ou pour le spectacle des danseurs de cerceau autochtones? Ou encore pour une soirée de slam inspirée de l’œuvre de William Shakespeare? Être ou ne pas être à Ādisōke : telle est la question!